Les adolescentes dans le camp de Ravensbrück
En quoi la littérature et les arts ont-ils été des moyens de survie et ont permis de mettre en évidence l’atrocité de la vie des adolescentes au camp de Ravensbrück ?
Des moyens pour survivre ...
Nous allons maintenant étudié les moyens et la force souvent incroyables que ces jeunes femmes vont réussir à développer au camp de Ravensbrück pour tenter de survivre à ces sévices. Les survivantes du camp de Ravensbrück et leur témoignages nous font prendre conscience que l'être humain, apparemment fragile, possède en lui un instinct de survie parfois inimaginable .







De petits cadeaux
Les déportées s'offraient de petits cadeaux, le jour de fête ou de leurs anniversaires, pour garder une pointe d'humanité dans ce monde de torture, de souffrance, de déshumanisation totale.
Le rêve
Un autre moyen de survie était employé par les détenues : le rêve, regarder une forme de nuage, voir le vent les faire bouger, admirer un rayon de soleil qui perce les nuages. Finalement, ce sont durant les moments de grandes souffrances que les déportées utilisent se moyen de s'évader. Un moyen de s'évader, de ne plus penser aux heures passées debout durant l'appel par exemple.
Les autres arts ...
D'autres arts, tels que le chant, l'écriture (même si celle ci ne sera pas dévoilée au grand jour) permettent aux détenues de penser à autre chose, de se receuillir un moment, de s'exprimer dans un monde ou l'expression est un délit.
Ce n'est d'ailleurs pas un hasard, qu'une chorale clandestine a vu le jour à Ravensbrück.